Pouquoi me réveiller, ô souffle du printemps? Sur mon front je sens tes caresses, et pourtant bien proche est le temps des orages et des tristesses! Pourquoi me réveiller, ô souffle du printemps? Demain, dans le vallon, viendra le voyageur, se souvenant de ma gloire première, et ses yeux vainement chercheront ma splendeur: Ils ne trouveront plus que deuil et que misère! Hélas! Pourquoi me réveiller, ô souffle du printemps?